Décidément, la popularité de Facebook est telle qu’on s’y retrouve à de multiples endroits. En visitant la toute nouvelle page de l’EREN (Eglise Evangélique Réformée du canton de Neuchâtel) via le site de Protestinfo qui publie un article sur cette Eglise, je me rends compte qu’elle n’est pas la même que la page L’EREN est mon Eglise. Sans doute que ceux qui aiment l’institution ne sont pas ceux qui la font. Non. Absurde. Ou alors que l’EREN ne soit pas complètement l’Eglise de tous… Non. Absurde aussi…
[m à j 15.04.2013 | La page « L’EREN est mon Eglise a disparu…]
Ou alors faut-il revenir à la distinction de base entre un groupe et une page.
Le groupe est une communauté d’individus qui partagent librement entre eux. Chacun avec un statut égal aux autres. Le groupe peut être privé. Dans le cas de L’EREN est mon Église:
La page permet à des marques, des entreprises, des institutions de s’exprimer, en permettant ou non à ses membres de prendre part à la discussion. Elle est toujours publique. Sur la page de l’Église réformée évangélique du canton de Neuchâtel (EREN), on lit des communiqués, des prises de position officielles, etc. qui s’affichent automatiquement sur le mur de « ceux qui aiment ».
Il n’y a pas opposition entre communauté et institutions, ce sont deux voix différentes qui s’adressent potentiellement à des publics différents.